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Municipalité

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Fillières fait dans les Nuances

 
Samedi à 20 h 30, bossa-nova, jazz, folk,  musique celtique avec 
le groupe Nuances.


Le public de La Bonne Fillières événements, place de l’Eglise à Fillières, a droit à de la chanson française, de la bossa-nova, du jazz et du folk ce week-end.
Ce vendredi à 20 h 30, Jean-Luc Kockler sera sur scène pour la sortie de son nouvel album Je ne tue plus les mouches. Au menu : de la chanson française, au service du bonheur, de la douleur, des états d’âme, du mystère du soi. Rythmes, tonalités, cris et chuchotements, tout y est. Jean-Luc Kockler peint acoustiquement nos consciences d’auditeurs et de spectateurs, réveillant les vibrations sensitives de nos émotions. En invitant à partager son chantier permanent de (re) construction personnelle, il brusque les habitudes dans le mélange des genres. Samedi à 20 h 30, bossa-nova, jazz, folk, musique celtique avec le groupe Nuances, né en 2003 et qui est avant tout une histoire de famille. A l’origine, deux frères, une sœur, un neveu et deux nièces, tous passionnés de musique et qui décident un beau jour de se regrouper pour partager leur musique et leurs émotions. Au menu, des reprises et des compositions personnelles.

Tarifs pour les deux concerts : adultes 9 €, enfants (moins de 12 ans) 4,5 €. La Bonne Fillières événements, Maison des associations, 2, place de l’Eglise à Fillières ; www.myspace.com/labonnefillieresevenement.


Comité des fêtes cherche président

 
Sept ans : un bail qui arrive à son terme pour Gilbert Bosso.


Conformément à son statut, le comité des fêtes a tenu son assemblée générale. Si, traditionnellement, cette dernière permet de dresser le bilan de l’année écoulée tant sur le plan des activités que financier, elle a revêtu un caractère particulier en raison de la démission de Gilbert Bosso, à la tête du comité des fêtes depuis 7 ans.
Mais auparavant, celui-ci a dressé un bilan complet de toutes les festivités dans lesquelles le comité s’était engagé. Feu d’artifice du 14 juillet, repas des bénévoles, fête patronale, Saint-Nicolas et bien sûr fête de la Sorcière, le bilan se révèle positif sur toute la ligne.
Au moment du renouvellement du bureau, se conformant à sa décision, Gilbert Bosso a présenté sa démission au comité : «J’avais décidé de rester 2 années, j’en ai pris pour 7 ans. On a tous fait un travail au mieux de ce que l’on pouvait faire, mais au bout de 7 ans, on devient routinier. Je reste malgré tout dans le comité en tant que représentant des anciens combattants ». Francis Herbays, maire de la commune a tenu à le remercier au nom de la municipalité pour «le travail effectué et l’engagement au sein d’une association. » Malek Boussalem, vice-président : «On a besoin de se remotiver. Je pense qu’il nous faut insuffler un nouvel élan à l’activité du comité des fêtes et mettre plutôt en place un groupe de travail. » Aucun des membres présents ne s’étant porté volontaire pour assumer la fonction de président, le conseil d’administration confie la délégation pleine et entière de toutes les fonctions afférentes au poste au 1er vice-président, en l’occurrence Malek Boussalem. Une assemblée extraordinaire est prévue dans les semaines qui suivent.

 


 

Opération alambics presque terminée !

 
Il ne reste plus que quelques jours avant la fermeture du centre 
de distillation de Villers-la-Montagne.

Le temps passe très vite et les distillateurs installés place Pergaud à Villers-la-Montagne vont devoir bientôt fermer leur boutique. Alors un dernier appel est lancé aux amateurs…
«Retardataires, distraits, réveillez-vous ! », préviennent les distillateurs. Le centre de distillation de Jean-Pierre Munier et Patrick Letscher, qui fonctionne depuis le 23 novembre va bientôt fermer ses portes, à la fin de la première semaine de février.
Les deux compères rappellent que les inscriptions se prennent chaque jour entre 8 h et 16 h (sauf le week-end) et ils informent les fidèles clients de Lexy que cette année, ils ne pourront s’y arrêter et qu’ils sont prêts à les recevoir à Villers-la-Montagne ou bien encore à faire le ramassage à leur domicile.
Pour eux, l’année a été bonne ; les clients sont satisfaits de la qualité et, fait nouveau, les jeunes commencent à s’y intéresser !

Réservations : tél. 06 15 24 60 26.

 

 

 


 

 

 

Les bénéficiaires du RSA se mettent en scène

 

Initiative originale du conseil général : les bénéficiaires du RSA ont témoigné de leur vécu au travers de saynètes jouées par des comédiens de la compagnie Top Zone de Fillières. Les animateurs de l’insertion s’en sont servis lors du débat qui a suivi.

Il fallait y penser. Des personnes du territoire de Longwy percevant l’allocation du revenu de solidarité active ont débattu de la question de l’accompagnement socioprofessionnel. Elles ont pu s’exprimer à partir de six saynètes jouées jeudi après-midi à L’Actée Théâtre à Cosnes-et-Romain. Ces saynètes interprétées par des comédiens de la compagnie théâtrale Top Zone de Fillières découlaient directement des paroles adaptées par Jacky Gerodel, metteur en scène. Le but était d’amener chacun à se confronter aux réalités des uns et des autres.

Pari réussi en compagnie de Christian Ariès, vice-président du conseil général en charge du territoire de Longwy et de Véronique Hammerer, responsable du service insertion territoire de Longwy. Pour Christian Ariès, «l’insertion sur le territoire est une réalité avec 2 500 personnes concernées. Le fait de jouer des situations est une orientation supplémentaire, en même temps un accompagnement socioprofessionnel ». Parmi les acteurs de la solidarité et du RSA figuraient des animateurs de la Régie de quartier, de Pays-Haut Services, du conseil général, de Pôle Emploi, de la Mission locale, des services sociaux du bassin de Longwy.

«Ecouté et compris»

Des bénéficiaires du RSA n’étaient pas forcément d’accord entre eux mais ils ont tous reconnu que les situations mises en scène reflétaient «la vérité. On se reconnaît ; ça donne envie de dire quelque chose. L’insertion ça prend du temps, écouter les accidentés de la vie n’est pas facile ». Quelqu’un, parmi l’assistance, a soutenu l’idée que la France serait le pays «champion des assistés. La tendance est trop au laisser-aller. Certains se posent la question : pourquoi se réveiller, pour qui je vais m’en sortir ? On devient coutumier de la misère. » Des paroles contredites par un animateur : «Non, personne ne se complaît dans la misère, mais malheureusement on n’arrive pas à aider tout le monde. »
Un bilan de cet après-midi de découverte a soulevé des certitudes : «Etre écouté et compris, c’est déjà une première attente. Pôle Emploi doit être une administration de services, un organisme humain. » D’autres ont noté l’importance d’un minimum d’études. «Avant, on pouvait travailler en étant illettré. Aujourd’hui, ce n’est plus possible puisqu’on demande des diplômes même dans les "petits" métiers. » La mobilité, l’importance du permis de conduire sont revenus dans beaucoup de témoignages, dont celui-ci : «Pour me rendre de Haucourt Saint-Charles à Longwy, je mets 45 minutes en bus. On nous propose souvent des jobs pour les Vosges, mais comment faire ? »

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

Francis Herbays, entouré de son équipe, a présenté ses vœux, l’occasion de dresser un bilan de l’année écoulée, de tracer les perspectives et de lancer un appel au président de l’intercommunalité. Parmi les nombreux projets mis en place par la commune : l’installation de quatre éoliennes, projet lancé en 2003 : «le permis de construire modificatif a été accepté, il a fallu mettre en place cette procédure suite à un sondage du sol non conforme. Le projet devrait voir le jour au printemps 2010 ». Le maire n’a pas oublié de remercier toutes les associations «un des enjeux pour nos communes situées en périphérie de secteur en développement consiste à favoriser le lien social et la vie quotidienne afin d’éviter de devenir un village dortoir ». Après avoir évoqué les différentes manifestations qui ont étayé la vie du village, souligné le travail des enseignants, de son équipe et des employés communaux, Francis Herbays est entré dans le vif du sujet en abordant le sujet sensible de l’intercommunalité : «Malgré le vote unanime des membres du conseil municipal en mai 2009, malgré la rencontre préalable avec le président du CCAL, malgré l’engagement pris par notre délibération, notre volonté d’adhérer à la CCAL n’a pas été prise en compte par son président ! Il n’a même pas décidé d’inscrire cette demande à l’ordre du jour de Communauté de communes… En cette période où l’Etat encourage l’adhésion des 2 % des communes en France qui ne sont pas encore en intercommunalité, le président de la CCAL renvoie notre décision unanime aux calandres grecques… en 2014 ».


Date de création : 08/01/2010 : 18:45
Dernière modification : 28/01/2010 : 07:36
Catégorie : - Revue de Presse
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