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Municipalité

La peinture lumineuse de Rachelle Koehler


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Intrigantes et abstraites, les toiles de Rachelle Koehler occuperont les murs de l’Office de tourisme du Pays de Longwy, au Puits de siège place Darche, jusqu’au dimanche 1er  juillet, 16h30.

La jeune enseignante, maman de deux enfants, domiciliée à Fillières, n’en est pas à son coup d’essai. Elle enchaîne plusieurs expositions par année. « À cause de mon métier, je ne peux pas en faire beaucoup ». Rachelle Koehler a commencé à peindre pour décorer son propre salon. « Je ne trouvais pas de tableau qui me convienne et qui colle avec ma décoration. J’ai décidé d’en peindre un moi-même. Ce premier essai a plu, j’ai alors commencé à peindre sur commande. Je peins peu à l’instinct, je préfère créer sur commande ».

Ses toiles, sur base d’acrylique, mélangent textures et matériaux, comme des copeaux de cuivre d’usine, résine ou plâtre, pour des effets de reliefs ou des trompe-l’œil savamment dosés. « La peinture me détend, m’apaise, c’est mon exutoire », reconnaît la jeune femme, autodidacte.

Des sorcières bien aimées


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La foule des grands jours s’était donné rendez-vous, hier, dans les rues de Filières. Il faut dire que la Fête de la sorcière draine du monde, particulièrement quand le temps est de la partie.

« Je suis confiant pour que nous atteignions 3 000 à 4 000 entrées », indiquait dimanche Hervé Ball, président du comité des fêtes, qui organise cette manifestation. Quelque 200 bénévoles étaient sur le pont depuis jeudi pour mettre en place les stands et accueillir comme il se doit les milliers de visiteurs.

À l’image des sorcières Jenny et Morgane, qui porte pourtant un nom de fée. Elles expliquent que, pour devenir sorcières, « il faut participer à beaucoup de solstices. Les rituels ont lieu en fonction des saisons. Au printemps, par exemple, on célèbre l’amour. C’est le moment idéal pour former des couples. En été, c’est plutôt le feu ». Les deux jeunes femmes avouent n’envoyer « que des sorts bénéfiques. Si l’on en jette des mauvais, ils reviennent sur vous avec une puissance décuplée ».

Conseil municipal des enfants : devenir citoyen

En 2016, la municipalité de Fillières a mis en place un Conseil municipal des jeunes. Après la fin de cette première mandature, les nouveaux conseillers ont été élus jeudi.


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Après deux ans de mandat, les conseillers municipaux jeunes vont rendre leur écharpe.

Aliette et Ambre ont décidé de dérouler leurs arguments pour inciter leurs camarades à s’investir. « Cela a été une bonne expérience, nous avons beaucoup appris. Nous avons découvert les responsabilités des élus, le fonctionnement d’une commune de l’intérieur mais aussi l’élaboration d’un budget. En voyant le montant de la somme dont dispose la commune, on pense que c’est beaucoup, mais au final cela part vite ! », détaille Ambre, devant ses camarades d’école.

Faire des propositions

« Le conseil municipal des enfants donne son avis sur la vie de la commune en faisant toujours attention à défendre l’intérêt général. Il prépare des propositions qui seront soumises au conseil municipal, en écoutant les autres et en veillant à ce qu’elles soient réalisables », rappellent Aliette et Ambre. « À partir du CE2, on peut être candidat ».

Les élèves écoutent attentivement. Les questions ne tardent pas à fuser. Margot : « C’est passé vite ? » Paul : « Le maire doit-il assister à toutes les réunions ? » Sacha : « Y a-t-il des adultes avec vous ? » « Oui, nous sommes encadrées par des conseillers municipaux », répond Ambre. Paul : « Qu’avez-vous fait en deux ans ? ». Aliette : « Nous avons fait installer de nouveaux panneaux, nous avons assisté à beaucoup de réunions mais aussi à toutes les manifestations officielles. Vous savez, on peut assister aux cérémonies même si on ne fait pas partie du conseil municipal des jeunes. »

Élection du maire le 2 juillet

La campagne a pris fin le 21 juin. Le Conseil municipal des jeunes (CMJ) est composé de sept membres dont un maire, deux adjoints et quatre conseillers. Jeudi, les jeunes Fagnats étaient appelés à voter afin d’élire le nouveau CMJ. Sur 37 inscrits, 17 sont venus glisser leur bulletin dans les urnes installées en mairie. Les cinq candidats en lice ont été élus. Il s’agit de Méline Clesse, Margot Ball, Thomas Dietsch, Iles Devot et Philippine Devot. La réunion du conseil pour l’élection du maire et des deux adjoints se tiendra lundi 2 juillet.


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Les sorcières attendues
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e  édition de la Fête de la sorcière, organisée par le comité des fêtes de Fillières, se déroulera dimanche 24 juin, de 10h à 23h55, dans les rues du village et granges. Entrée : 2 € ; gratuit pour les enfants de moins de 12 ans et les personnes déguisées.

Un dimanche avec les sorcières


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Dimanche, les sorcières seront les stars à Fillières. Elles ne seront  pas seules, plus d’une centaine d’exposants, de créateurs y seront présents. Des spectacles de rue et un marché paysan figurent également au programme. Les festivités commenceront à 10h pour s’achever tard dans la nuit par un grand bal folk avec Alerions. Le prix d’entrée est fixé à 2 €, gratuit pour les moins de 12 ans.

Et revoilà les sorcières !

Depuis vingt ans, Fillières rime avec sorcières. Pour que la grande fête du 24 juin en mette plein les yeux, des mains expertes s’activent dans l’ombre depuis le début de l’année.


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Plus que quelques heures avant l’arrivée des sorcières à Fillières. Les bénévoles se sont retrouvés pour un dernier briefing et savourer la “potion magique” qui sera servie dimanche.

Depuis vingt ans, les sorcières de la France entière ont décidé de célébrer leur sabbat annuel à Fillières. 5 000 visiteurs vont se presser au village afin de découvrir à chaque coin de rue, dans la pénombre des granges, ces hôtes impressionnants et surtout susceptibles.

200 bénévoles

Plus de 200 bénévoles sont sur le pied de guerre depuis quelques semaines. Parmi eux, Serge Brissette, à l’origine de la fête avec Jean-Pierre Clesse. « Après l’organisation du comice agricole, le comité des fêtes a sollicité les associations locales pour réfléchir à une fête annuelle qui impliquerait tout le village », se souvient Serge Brissette. « Après réflexions, le comité du Musée campagnard a proposé une fête artisanale, qui accueillerait des artisans et proposerait des produits du terroir. Il nous fallait un thème pour nous démarquer. On s’est dit pourquoi pas les sorcières, surtout que dans les campagnes, au XVIIe  siècle, il n’était pas rare de brûler des personnes soupçonnées d’avoir des accointances avec le diable. »

Le ballet des sorcières se prépare

Depuis 21 ans, Fillières rime avec sorcières. Pour que la grande fête du 24 juin en mette plein les yeux, des mains expertes s’activent dans l’ombre depuis le début de l’année.


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Dans quelques jours, Fillières sera le lieu de rendez-vous de personnages très particuliers. Depuis maintenant 21 ans, les sorcières de toute l’Europe ont choisi cet endroit paisible pour leur grand sabbat annuel et, bon gré mal gré, les Fagnats ont bien été obligés de composer avec ces hôtes maléfiques, pour entrer dans leurs bonnes grâces… Afin d’éviter des désagréments.
 
Aussi, depuis janvier, dans le secret de leur atelier, des apprenties sorcières, choisies pour leur don de couturière œuvrent sans relâche. Leurs missions, imposées : réaliser des décorations, des accessoires divers pour honorer les sorcières. Les créatrices sont au nombre de six. Anne-Marie, Sylvie, Céline, Angela, Évelyne et Marie, petites mains talentueuses, travaillent sans relâche afin de créer des décors qui flotteront dans les rues et chemins de Fillières le 24 juin, car la fête attire chaque année des milliers de visiteurs.
 
Aussi, chaque lundi, à partir de 13h, les amies imaginent, cousent, découpent, collent et de leurs mains expertes sortent, comme par magie, des chapeaux délirants, des cousins décorées à la gloire des sorcières, des dragons, des chauves-souris et autres personnages dantesques. De temps en temps, non pas par magie, surgit une douceur sucrée, histoire de faire le plein d’énergies.
Les clefs de la 21e édition
La Fête de la sorcière attire 5 000 visiteurs dans sa toile tissée avec soin. Plus d’une centaine d’exposants, de créateurs y sont invités. Des spectacles de rue et un marché paysan figurent également au programme. La journée du 24 juin s’ouvrira à 10h et s’achèvera tard dans la nuit par un grand bal folk avec Alerions au pied du bûcher car, oui, une sorcière y sera brûlée. Le prix d’entrée est fixé à 2 €, gratuit pour les moins de 12 ans.


Bienvenue Fabio


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Le 27 mars à 8h08, le petit Fabio Sabatelli a pointé le bout de son nez à la maternité de Mont-Saint-Martin, à la grande joie d’Andréa, sa sœur aînée, et de son frère Alessio, tous deux attendant sa venue avec impatience. Fabio, 47 cm pour 2,380 kg, est le 3e  enfant de Sabine et Michel, résidant à Fillières.

Nos félicitations aux parents et nos vœux de prospérité au bébé.


Championnats de France UNSS : première victoire pour les danseuses

Sélectionnée pour les championnats de France UNSS, la section danse du collège d’Audun-le-Roman devait trouver les fonds afin d’y participer. C’est désormais chose faite, au terme… de nombreux efforts.


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Quand elle a su que “ses” filles s’étaient qualifiées pour les championnats de France UNSS, Laurence Ragni ne savait pas sur quel pied danser. « J’étais bien sûr très heureuse pour elles, pour nous. Mais je me demandais comment on allait financer le voyage et le séjour. Car participer à ces “France”, cela représente quand même un coût de 3 500 € ! Et on n’avait droit à aucune aide ! », s’exclame la dynamique prof d’EPS du collège Gaston-Ramon.

Un stand pour sensibiliser

Depuis quelques jours, les sourires ont succédé aux grimaces : le financement a été trouvé et les 13 gamines de 6e  et 5e  prennent part aujourd’hui à la compétition, à Istres (Bouches-du-Rhône), jusqu’au 8 juin.

Petit retour en arrière : fin avril, la toute jeune section danse du collège audunois, créée en septembre dernier, apprenait sa qualification aux championnats de France UNSS. Une heureuse et énorme surprise. Mais dès lors se posait la question du financement. Un véritable casse-tête. « Comme nous sommes des nouveaux venus en UNSS, l’académie ne pouvait nous aider, privilégiant ses subventions pour des sections davantage établies et reconnues. Même chose pour le collège qui n’avait pas prévu dans son budget notre qualification ».

Laurence Ragni, danseuse depuis sa plus tendre enfance, a dû courir à droite à gauche afin de dénicher les fonds. Avec l’aide de plusieurs parents, mais aussi d’Aurélie Gelmi, chorégraphe intervenant à Gaston-Ramon, la prof d’EPS a initié une série d’actions. Citons pêle-mêle : soirée disco, ensachage (avec la participation des collégiennes) au Super U de Briey, montage d’un stand dans la galerie de cette même enseigne pour expliquer l’action de la section danse et recueillir des dons, démarchage de collectivités et d’entreprises (lire par ailleurs)…

L’aide des parents

« J’ai passé toutes mes vacances de printemps à démarcher ! Alors quand j’entends dire que les profs ne bossent pas… », s’amuse l’enseignante. Elle en profite pour saluer les parents qui ont mis la main à la pâte : « Ils se sont relayés pour tenir le stand une maman a même vendu des gâteaux à son travail. »

Afin de remercier celles et ceux s’étant pliés en quatre pour elles, les jeunes danseuses ont promis de se donner à fond, à Istres. « On y va pour gagner ! C’est d’ailleurs notre slogan », lance Laurence Ragni. Pour leur chorégraphie, ses protégées vont multiplier les figures et ne pas faire dans la figuration…


Les chèvres retrouvent leur place à Bitche

Avec le retour des beaux jours, les chèvres alpines, parfois recherchées des promeneurs, ont fait leur grand retour autour du fort Saint-Sébastien. Elles ont toujours la même mission : faire place nette.


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Les chèvres alpines ont passé l’hiver à la chèvrerie, dans une des galeries du fort Saint-Sébastien Souvent recherchées des promeneurs, elles ont fait leur grand retour, en pleine nature, il y a dix jours, seulement « Nous ne pouvons pas les sortir trop tôt au printemps, explique Pascal Leichtnam, président de l’association des Amis du fort, car nous devons attendre que l’herbe pousse, les bêtes doivent avoir de la matière. » Avec la pluie et le soleil, c’est désormais chose faite.

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Elles sont huit à brouter autour de l’ancienne forteresse. « Nous n’avons plus le bouc, nous l’avons vendu il y a deux ans, car nous devions gérer les naissances », indique encore Pascal Leichtnam. En plus, les abords du fort Saint-Sébastien, planté sur du grès rose des Vosges, ne sont pas assez verts pour ces grands amateurs d’herbe fraîche. « Nous devons même leur acheter du fourrage. »

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Parmi elles, Sébastien, grand, fier et téméraire, se porte comme un charme. Il a 2 ans. Né la veille de Pâques, en mars 2016, il avait d’abord été couvé par sa maman Bicbic et son papa Bounty, dit Boucbouc. Un heureux événement pour tous les Amis du fort, qui assistaient à la première naissance caprine depuis l’installation des bêtes. Depuis, il gambade joyeusement avec ses congénères sur les hauteurs du fort.

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Dominique Mann est l’homme qui veille au grain. Tous les jours, le retraité monte au fort, pour surveiller les chèvres, leur donner eau, pain et orge. Les bêtes, qui font office de tondeuses écologiques, sont entièrement gérées par l’association. « Les bénéfices de nos manifestations servent à acheter le fourrage, environ 500 € à l’année, et payer les frais de vétérinaire », indique Pascal Leichtnam.

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Autre événement que prépare l’association, la fête de la Sorcière de Fillières, dans le nord de la Meurthe-et-Moselle, dimanche 24 juin. Vingt membres sont recrutés pour l’animer, parmi 100 exposants et 4 000 visiteurs attendus. « Le savoir-faire bitchois s’exporte », se réjouit Pascal Leichtnam. Il prépare aussi une tout autre formule de la Hexenacht au fort.

La céramique s’expose au Musée campagnard

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Artiste céramiste, l’Aumessois Michel Libolt expose actuellement une partie de ses réalisations au Musée campagnard de Fillières. « Nous donnons la possibilité aux peintres amateurs de la région de présenter leurs œuvres, la céramique a tout à fait sa place dans notre musée dédié aux anciens métiers ruraux », explique Serge Brissette, président de l’association qui gère cette collection d’outils, de machines et d’objets chargés d’histoire. Parmi les tableaux qu’il expose, Michel Libolt présente une série remarquable consacrée aux Quatre Saisons en Lorraine, un ouvrage de Jean Morette, illustrateur et écrivain qui pendant de nombreuses années a collaboré au 
Républicain Lorrain. Michel Libolt explique aux visiteurs sa technique de découpe et d’assemblage de petits morceaux de céramique en combinant les formes et en harmonisant les couleurs. Ses œuvres seront visibles au Musée campagnard de Fillières les dimanches après-midi 10 et 17 juin, et sur un stand de la Fête de la Sorcière, dimanche 24 juin.

Des voisins qui s’apprécient


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Cette année la fete des voisins c'est déroulée dans trois quartiers du village, belle et fraternelle ambiance.

Les sorcières attendues


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La 21e édition de la Fête de la sorcière, organisée par le comité des fêtes de Fillières, se déroulera dimanche 24 juin, de 10h à 23h55, dans les rues du village et granges. La fête réunit chaque année 4 000 à 5 000 visiteurs et une centaine d’exposants, tous artistes ou artisans.

Tout en restant dans l’esprit de ses débuts, la 21e édition apporte son lot de nouveautés : activités, jeux, animations, spectacles de rue, créations artisanales, littéraires ou artistiques. Le public se rend dans les rues et les granges, à la rencontre des artisans et des artistes qui exposent leurs créations originales, souvent réalisées devant le public.

Les affamés pourront savourer de la porchetta, burgers ou des salades composées à moins que leur choix se porte sur le barbecue.

Comme les années précédentes, un marché paysan attend le public, avec tous les produits de la ferme, en passant par le miel, le safran, et les animaux. Le marché sera clos, avec un grand bal folk animé par les Alérions, de la musique pour les oreilles et pour les pieds, devant le bûcher de la sorcière.

Entrée : 2 € ; gratuit pour les enfants de moins de 12 ans et les personnes déguisées.

Les écoliers ont la main verte

Cultiver son jardin, une maxime que les élèves de l’école de Fillières ont adopté au premier degré avec leur professeur, Amandine Hacquin, et l’aide de Pierre Blondel, conseiller municipal et jardinier hors pair.


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les petits Fagnats ont troqué leurs stylos pour la binette et le râteau, délaissant leur salle de classe l’espace d’une heure pour un cours de jardinage dispensé par Pierre Blondel, conseiller municipal et jardinier hors pair.

Le jardin pédagogique a vu le jour à l’école de Fillières il y a trois ans. « C’est un projet de longue date, explique Pierre Blondel. Cet ancien jardin des instituteurs était à l’abandon. » Sept tonnes de gravats ont été retirées pour préparer le terrain. Avec l’aide de Pierre Blondel et l’équipe des espaces verts, deux carrés de jardins, un pour chaque classe, ont été installés à l’arrière de l’école. « Il a fallu quelques mois pour le mettre en état. Nous avons ensuite planté des arbres fruitiers. C’était un projet qui me tenait à cœur, mon départ à la retraite m’a permis de le mettre enfin à exécution. »

 
 
 

 Les parents jouent le jeu C’est un réel plaisir de voir l’étonnement des enfants lorsqu’ils viennent récolter le fruit de leur travail. « Ce qui est aussi sympa, c’est de voir les parents jouer le jeu en fournissant, par exemple, des graines mellifères », glisse Pierre Blondel. Le jardin n’attend pas et les enfants sont impatients de planter courgettes, salades, potimarrons, poivrons, potiron, brocolis, oignons et même des melons. Théo, 8 ans, est déjà un pro du jardinage. « Nous avons planté des fraises la première année. Elles sont délicieuses. Nous avons aussi mangé des radis. Et puis les produits du jardin sont meilleurs que ceux du magasin. »

« S’occuper d’un jardin c’est une belle leçon de vie »

Amandine Hacquin, directrice de l’école primaire de Fillières, est ravie de profiter du jardin : « Un jardin, c’est un bon terrain d’observation pour les élèves. Ils découvrent les animaux du sol, leur rôle dans la nature, ils observent le cycle des plantes, la formation des légumes, ils apprennent aussi l’impact sur l’environnement. S’occuper d’un jardin, c’est une belle leçon de vie ».


Date de création : 03/06/2018 : 10:25
Dernière modification : 02/07/2018 : 07:36
Catégorie : - Revue de Presse
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