En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés. Mentions légales.
 
 
Municipalité

rss Cet article est disponible en format standard RSS pour publication sur votre site web :
https://fillieres.fr/data/fr-articles.xml

 

L’Estivade : un festival entre rires et larmes ?

La deuxième édition du festival des musiques du monde L’Estivade, organisé par La Bonne Fillières événements samedi 9 juillet dès 16 h, pourrait être la « soirée de clôture » de la structure, dont l’avenir est incertain.

Le groupe Sligo, habitué des grandes scènes de France et d’Europe, sera de la partie pour cette deuxième édition de l’Estivade.  Photo DR

Le groupe Sligo, habitué des grandes scènes de France et d’Europe, sera de la partie pour cette deuxième édition de l’Estivade. Photo DR


Malgré les nombreuses incertitudes qui planent sur l’avenir de la structure, les responsables de La Bonne Fillières événements ne laisseront pas passer l’occasion de clore cette saison par une grosse fête, comme ils l’avaient fait en juillet 2010.

Si Jacky Gerodel et Boris Maxant, se sentant «  très peu soutenus par les élus locaux », parlent du versement des subventions départementales et régionales «  au compte-gouttes », dont la cause est à aller chercher dans les lourdeurs administratives, ils n’oublient pas de sourire à l’évocation de leur festival : la deuxième édition de L’Estivade, programmée à partir de 16 h samedi 9 juillet place de l’Église à Fillières.

«  On ne sait pas si on va pouvoir redémarrer en septembre, ni si on passera la fin de l’année. Cette manifestation pourrait donc être notre soirée de clôture. » Et si elle ressemble à celle de l’année dernière, ce sera un final réussi. Car près de 300 personnes avaient fait le déplacement pour découvrir ou redécouvrir une salle et une équipe tournées vers les cultures du monde. Un thème qui sera repris en 2011. «  On va proposer un village associatif, avec des produits locaux mais également issus du commerce équitable et du monde entier. On aura aussi une table consacrée à la presse alternative avec L’âge de faire et Fakir. »

Mais ce qui rythmera le festival du jour, ce sera avant tout les concerts. Et le programme mis sur pied par les deux compères et leurs amis devrait attirer du monde.

Pour tous les goûts

Deux troupes mettront l’eau à la bouche du public et s’activeront entre chaque prestation de groupes : les membres de Nostalégende-Country 54 proposeront des danses country donc, et ceux de Cosmorythme inviteront à partager les rythmes d’Afrique de l’Ouest. «  Ils vont rendre plus agréables les changements de plateau. » Ensuite, quatre formations se succéderont sur scène : à 17 h, le Bossa-nova jazz trio présentera sa passion pour la musique brésilienne, «  joyeuse, romantique, aux accents modernes » ; à 18 h 30, Sirius offrira sa chanson française métissée avec ses deux voix, son violon et ses percussions ; à 20 h, place à Altofeu et son folk-bluegrass, rencontre entre les airs traditionnels irlandais et le blues américain ; à 21 h 30, Sligo aura la lourde tâche de conclure avec sa musique irlandaise et ses morceaux traditionnels enjoués et festifs, parfois mélancoliques, ce qui ne devrait pas poser trop de problèmes car ce groupe lorrain est un habitué des grands festivals français et européens. «  Pour L’Estivade 2010, on avait eu la reconnaissance du public, ainsi que des habitants de la commune et de la municipalité, qui a d’ailleurs effectué un effort au niveau de la signalétique du bâtiment. Pourquoi ? Car on a gardé cette notion de convivialité, de partage, d’échange qui circule tout au long de la saison salle de la Chapelle. Et samedi 9 juillet, ça sera pareil. »

Tarifs : 5 €, ou 2,50 € en solidaire ou pour les moins de douze ans. Sur place : buvette, barbecue, petite restauration.

Renseignements : La Bonne Fillières événements, 2, place de l’Eglise à Fillières.

Tél. 06 63 01 00 44.

S.B.
 

Séverine et Benjamin

 

Photo RL

Photo RL


Fillières. — Samedi 25, à 15 h 15, a été célébré le mariage de Séverine François, agent d’entretien, et de Benjamin Jagiella, tourneur fraiseur.

Nos meilleurs vœux de bonheur
.

« La magie de la sorcière »

 

Impossible pour les visiteurs d’échapper aux petites têtes blondes grimées.   Photos  Étienne JAMINET

Impossible pour les visiteurs d’échapper aux petites têtes blondes grimées. Photos Étienne JAMINET


Dans les rues de Fillières, hier, outre les nombreuses sorcières déclinées sous toutes les formes, le visiteur a pu profiter du spectacle des enfants grimés et déguisés. Car en plus des stands, la fête de la Sorcière a proposé de nombreuses animations.

« Une essoreuse comme ça, moi j’ai connu ça chez ma mère », soupire une femme en regardant les lavandières d’antan et leurs reliques, devant son amie dubitative. Plus haut dans le village, se dressent les jeux pour enfants, dont des structures gonflables. « Pour une manifestation comme ça, il faut de l’imposant, des choses qui se voient de loin et du bruit », explique Francis Herbays, maire de Fillières, s’exprimant, au milieu de la foule, par-dessus la musique diffusée par les haut-parleurs.

Le succès de la fête, il l’explique simplement : « C’est un bon moment, entre les vacances qui commencent, les beaux jours qui arrivent, les gens ont envie de sortir ». De plus, la formule, légèrement différente cette année dans la forme, le réjouit. « Le comité a décidé de concentrer les stands, ça fait vraiment foire, c’est bien », sourit-il.

Quant au temps merveilleusement clément qui a sévi toute la journée, ce n’est pas un mystère pour le maire du village : « Merci à la magie de la Sorcière !
»

Le village sous le charme de la sorcière

La fête de la sorcière à Fillières a attiré un grand nombre de familles, hier. Parkings saturés, rues bondées et débits de rafraîchissements pris d’assaut, la sorcière a dû être sur tous les fronts.

Les habitants de Fillières ont joué le jeu de la fête de la sorcière, hier.   Photos Étienne JAMINET.

Les habitants de Fillières ont joué le jeu de la fête de la sorcière, hier. Photos Étienne JAMINET.


I l y en a partout des sorcières ici ma chérie ! » Ce papa, un brin exaspéré par les arrêts fréquents de sa fille a raison : les habitants de Fillières ont joué le jeu de la fête de la Sorcière, hier. Dans la rue des Doigts de fée, dans celle des Grimoires, des Objets magiques ou bien encore dans la galerie des Rêves, elle s’affiche, souriante ou grimaçante, entre les stands d’artisans, de professionnels ou de particuliers, qui n’hésitent pas à ouvrir leur garage et grange au public pour des expositions de réalisations en pâte à sel ou de dessins. Sur les étals, la foule, nombreuse, qui a saturé les parkings prévus, trouve son bonheur aussi bien en nourriture, objets de décoration, vêtements, etc., et bien évidemment, de fantasy, dédié à la sorcière et à ses cousines les fées et ses cousins les guerriers. « Le grand, là-bas, il est superbe ! », s’exclame une dame désignant un tableau en mosaïque, tandis qu’un peu plus loin, un fileur de verre fait montre de son savoir-faire devant petits et grands admiratifs. Et pressés de profiter du camion à glace qui fait le plein de clients.

La sorcière à brûler

 

Les socrcières envahiront la commune.  Photo RL

Les socrcières envahiront la commune. Photo RL

Animations, artisans, artistes, bûcher et bal au programme de la quatorzième Fête de la sorcière, demain. Porté par l’association du Comité des fêtes de Fillières, ce rendez-vous annuel draine une centaine d’exposants spécialisés dans l’artisanat et l’art. Les rues de Fillières, village authentique du Pays-Haut, vont à nouveau se transformer en repère de la vilaine sorcière de Fillières. Sa maison sera d’ailleurs aménagée dans une grange. Le public y verra son serpent fumant et crachant, tandis que les lavandières s’activeront au lavoir communal pour blanchir sa méchanceté. Ambiance garantie toute la journée de 10h jusqu’à la tombée de la nuit où le bûcher sera allumé pour se débarrasser pour un an de cette sorcière maléfique du Pays-Haut. Des surprises attendent les visiteurs avec des expositions et des objets de collection. Restauration sur place.

À la recherche de l’élixir de beauté

 

Dame Gilberte ne semble pas très rassurée à l’idée d’avaler la potion préparée par Fricadélina.  Photo RL

Dame Gilberte ne semble pas très rassurée à l’idée d’avaler la potion préparée par Fricadélina. Photo RL


Charbonnelle, la sorcière dépêchée par la grande prêtresse est désespérée. Elle doit impérativement mettre la main sur l’élixir de beauté de Sérafina ; sa maîtresse, le veut avant ce dimanche 26 juin car les effets du temps ont altéré sa beauté, et, il est hors de question qu’elle ne soit pas à l’apogée de sa beauté pour le grand sabbat de dimanche. Après avoir essayé de concocter par ses propres moyens ce fameux élixir, qui a eu entre parenthèses un résultat désastreux sur sa personne, Charbonnelle reprend espoir, elle a ouï dire alors que sur son balai, elle survolait Fillières qu’une gargote nouvellement ouverte concoctait des soupes miraculeuses aux effets surprenants et en plus que cette gargote était aux mains de Fricadélina, la complice de Sérafina. « Je suis sauvée, s’exclame Charbonnelle, manquant de tomber de son balai, vite allons voir ce qui se mijote dans cet antre. » Au même moment, Dame Gilberte de Morfontaine, ayant eu vent des maléfices de Sérafina pousse la porte de l’auberge « J’ai entendu par mon voisin, le curé, que vous préparez des potages aux vertus incroyables. Par aît-il, murmure Dame Gilberte, qu’ils auraient le pouvoir de rajeunir. » « Oui, à condition de les avaler en lune noire, souffle Fricadélina » ; « J’aimerais tant y goûter, car j’ai quelques rides d’expressions qu’il me plairait de voir disparaître sans oublier toutes les douleurs qui tiraillent mes vieux os, oh mon dieu comme ce serait bien ! Encore qu’une taille de guêpe ne me déplairait pas, loin sans faut, soupire la Dame, ainsi qu’un beau teint de bébé. » « Quand rousse sera la lune, l’usure disparaîtra, marmonne Fricadelina, en servant Gilberte, le résultat se verra….dimanche ».

Le retour des sorcières

 

Dernière tentative pour Charbonnelle afin de retrouver le secret de l’élixir de beauté de Sérafina. Photo RL

Dernière tentative pour Charbonnelle afin de retrouver le secret de l’élixir de beauté de Sérafina. Photo RL


Mais que fabrique donc Charbonnelle avec son grand chaudron, duquel dépassent de petits enfants ? Elle essaie de concocter l’élixir de beauté de Sérafina mais sans succès. Et pourtant, ce n’est pas faute de chercher mais, sacrebleu, rien n’y fait : les effets de son breuvage sont désastreux. Elle qui avait de si jolis cheveux, se retrouve avec une paillasse infâme, son teint laiteux a viré au vert-de-gris sitôt la dernière gorgée avalée. Elle ne voit plus qu’une solution : faire mijoter quelques bambins, des petits Fagnats bien dodus dans son chaudron, les saupoudrer de quelques grains de pollen, ajouter deux bonnes cuillerées de miel et des pétales de coquelicots, mais elle doit impérativement découvrir le secret de beauté de Sérafina. Malheureusement, au fil des heures, les effets de son breuvage sont de plus en plus désastreux : « Aïe, que va dire la grande prêtresse ? »

Fête de la sorcière le 26 juin, entrée : 2 €
.

 Les sorcières sont de retour

 

Pas le temps pour Charbonnelle de s’arrêter pour dévorer la pizza malicieuse, spécialité de Dany. Photo RL

Pas le temps pour Charbonnelle de s’arrêter pour dévorer la pizza malicieuse, spécialité de Dany. Photo RL


Un ciel plombé, des rafales de vent et c’est Dany, le pizzaïolo, qui a été surpris pour ne pas dire effrayé en apercevant, virevoltant de droite et de gauche, une affreuse sorcière chevauchant tant bien que mal son balai de coudrier. Hé oui, les sorcières sont de retour à Fillières pour le grand sabbat qui va se dérouler ce dimanche 26 juin.

Mais pour l’instant, Charbonnelle se doit d’accomplir sa mission : retrouver Sérafina, la sorcière du musée campagnard qui, l’an passé, avait concocté un élixir destiné à enlaidir les habitants, élixir qui a eu l’effet inverse et Charbonnelle, dépêchée par la grande prêtresse, doit impérativement se procurer quelques gouttes de ce précieux breuvage.

Entrée : 2 €.

La Fête de la sorcière pour le meilleur et pour le bûcher

La 14 e édition de la Fête de la sorcière à Fillières se déroule ce dimanche 26 juin. Ce village authentique transformera ses granges pour accueillir une centaine d’exposants.

Méfiez-vous les sorcières sont de retour !  Photo RL

Méfiez-vous les sorcières sont de retour ! Photo RL

Tout est prêt à Fillières pour honorer ce dimanche 26 juin la 14 eFête de la sorcière. Ce beau village du Pays-Haut regorge d’imagination pour se transformer pour un jour en paradis de la malfaisante sorcière. Animations, artisans, artistes, bûcher, bal, une centaine d’exposants tous spécialistes de l’art et de l’artisanat.

Dès 10h, le public est attendu pour parcourir les rues, admirer les décorations dans les granges et sur les places. La maison proprement dite de la sorcière sera bien visible au centre, avec son fameux serpent qui crachera son venin. Mais la sorcière n’aura qu’à se tenir, sous peine de finir plus tôt brûlée sur le bûcher. Elle n’y coupera pas, à la tombée de la nuit, car selon la tradition villageoise, la démoniaque personne sera bel et bien passée par les flammes.

Bénévolat

Evelyne Casel, la dynamique présidente du comité des fêtes de Fillières, et Malek Boussalem, le vice-président et cheville ouvrière, s’appuient sur quelque 180 bénévoles pour rendre cette fête la plus conviviale et la plus proche des 472 citoyens de Fillières et des 5 000 visiteurs attendus le 26 juin. L’inauguration officielle se tiendra à 10 h 30 en présence de la municipalité et des officiels. De son côté, le Musée campagnard restera ouvert toute la journée. Une visite s’impose dans ce lieu magique où les traditions séculaires revivent grâce au dévouement de son président M. Brissette.

Théâtre de rue

Les arts et l’artisanat sous toutes ses formes seront déclinés dimanche. Ce sera l’occasion de flâner parmi les nombreux stands, d’admirer les expositions prévues, d’aller à la rencontre des collectionneurs de beaux objets rares et d’échanger avec leurs passions. Le lavoir sera reconstitué avec ses lavandières, tandis que les animations de rue avec des troupes battront leur plein.

C’est ainsi que les visiteurs croiseront la fameuse troupe des Echappés des oubliettes, les grandes sorcières sur échasses, les chorales et musiques franco-belges. Du côté musical justement, chacun appréciera les fameux musiciens Les Décibels de Villers-la-Montagne qui savent toujours mettre de l’ambiance Il ne faudra pas non plus manquer le très beau spectacle équestre sur le thème de la Licorne qui à lui seul vaut le déplacement.

Car de l’animation, il y en aura justement pour tout le monde jusqu’à la nuit tombante où le feu commencera à crépiter sous les pieds de la sorcière.

Côté restauration et dégustation, un œnologue montrera tout son savoir faire. Les métiers de bouche seront bien présents. On y goûtera de l’andouille, de la pâtisserie et de la boulangerie fraîches ainsi que de la chocolaterie.

Un super-bal champêtre viendra clore cette édition 2011 de la Fête de la sorcière, pour le meilleur… et pour le bûcher !

Au diable les préjugés, tout le monde est invité à venir fêter à Fillières la 14 e sorcière à brûler sur un grand feu de joie. Cela marque le début de l’été en toute convivialité.

J.-P. R.
 

Mme Anna Pepin

Mme Anna Pepin

 

Nous apprenons le décès de Mme Anna Pepin, née Poprawa survenu le vendredi 10 juin dans sa 87 e année. La défunte était domiciliée à Fillières où elle avait eu la peine de perdre son époux en 2002. Elle y fut longtemps présidente du club Perce-Neige, conseillère municipale et œuvrait au CCAS de la commune.

Son corps repose en l’église de Fillières qui sera ouverte de 14 h à 18 h.

La cérémonie religieuse aura lieu mardi 14 juin à 9 h 30 en l’église de Fillières, suivie de l’inhumation au cimetière communal dans le caveau de famille.

Nos condoléances à la famille.

 

 

 

 


 

 

 

 

Tous réunis pour la kermesse des écoles

Un public nombreux est venu applaudir les enfants.  Photo RL

Un public nombreux est venu applaudir les enfants. Photo RL

 

La kermesse des écoles du regroupement Fillières/Ville-au-Montois a réuni tous les élèves soit soixante-quinze enfants de la petite section de maternelle au CM2 qui ont dansé et chanté en donnant le meilleur d’eux-mêmes à la grande joie des parents et grands-parents venus nombreux.

Chaque classe a donné son spectacle, les plus grands ont interprété en anglais une chanson des Beatles Hello good-bye et La montagne de Jean Ferrat. La section des maternelles a chanté Boucle d’or. Après chaque prestation les enfants ont été très applaudis.

Francis Herbay, maire de Fillières, était présent ainsi que Marie-José Dufour, maire de Ville-au-Montois. L’association des parents d’élèves s’est beaucoup investie dans cette manifestation ainsi que les institutrices. Dans le parc attenant au groupe scolaire était installé chamboule tout, jeu de fléchettes, pêche aux canards et à la ligne et les enfants ont pu profiter des divers jeux mis à leur disposition. En soirée, la petite restauration a su réconforter tout le monde ainsi que les pâtisseries faites maison.

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

10 e édition des Champo’Lions

Bonne humeur   de rigueur   au même titre que les chaussures   de marche,   un cocktail indispensable pour des Lion’s.   Photo RL.
Plus de 200 participants pour cette 10 e édition des Champo’Lions, un bel anniversaire pour cette association qui s’est donnée comme objectif de récolter des fonds pour l’Aremig en organisant une série de manifestations en cours d’année. C’est Fillières que les Lion’s ont choisi cette année pour leur traditionnelle marche.

7,5 km à travers la forêt des Fagnats, marche pimentée de questions qui portaient sur un thème bien particulier, anniversaire oblige, les anniversaires ! « Tous les bénéfices réalisés à l’occasion de cette journée seront entièrement reversés à l’Aremig », explique le vice-président Maurice Pierron qui gère cette journée. Ce fut une année riche en événements avec l’organisation d’un loto mais aussi du Salon bio.

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

Au chevet des sites naturels

Le conservatoire des sites Lorrains représenté par Damien Aumaitre et François Fourny invités par la municipalité de Ville au Montois, avec les communes de Fillières, Bazailles, Pierrepont et Baslieux.

Des membres du conservatoire des sites lorrains étaient présents pour évoquer la protection de la vallée de la Crusnes.Les représentants des communes concernées par le passage de la Crusnes.  Photos RL

Concernée par la protection de la vallée de la Crusnes et des communes limitrophes, Marie-José Dufour, maire de Ville-au-Montois, accompagnée d’adjoints, a accueilli en mairie le maire de Fillières Francis Herbays, de Baslieux Lionel Boudart, René Léonard, adjoint de Bazailles, Jean-Luc Schmitz maire de Pierrepont et une représentante de l’ONF.

Damien et François ont présenté le conservatoire des sites lorrains qui œuvre pour la conservation des richesses biologiques patrimoniales des sites et milieux naturels lorrains au titre de leurs valeurs scientifique, culturelle et paysagère.

Sur une vidéo, ils ont expliqué que la vallée de la Crusnes, de Serrouville à Ville-au-Montois, est un patrimoine naturel remarquable, à préserver. Sur le cours d’eau, on distingue trois types d’habitats : la rivière avec les zones à truite, les zones à ombres. Sur ses abords, des prairies à fourrage et humides, des pâtures à grands joncs. On distingue les boisements à bois tendre, les saulaires marécageuses à saules cendrés, des forêts alluviales résiduelles à aulnes communs et à frênes communs, des forêts de galeries de saules blancs et des forêts de bois dur. On trouve aussi des bosquets à prunelier et à ronces, à mûres, ainsi que des prairies à laîche aïgue et à laîche des marais, des friches humides et des plantations de conifères, de peupliers et plantation de feuillus.

Sur plusieurs étangs au sein du plan d’eau, creusés dans le lit majeur de la Crusnes, on distingue deux types d’habitats : les eaux stagnantes et les tapis flottants de végétaux à grandes feuilles. En fonction de leur valeur patrimoniale, les habitats sont classés en trois groupes : les habitats remarquables présentant un intérêt floristique et fonctionnel, les habitats intermédiaires nécessitant des interventions ou une restauration pour trouver une fonctionnalité et abriter des espèces remarquables, et les habitats dégradés qui ne présentent pas ou peu d’intérêt en terme écologique. Les interventions de restauration sont incontournables sur ces milieux mais elles deviennent difficiles, voir impossibles.

La flore et la faune sont très riches sur les bords de la rivière, avec le triton crêté, la salamandre tachetée, la couleuvre à collier, le crapaud commun, la rainette verte, le papillon cuivré des marais. On retrouve également des oiseaux dans les zones humides, des bruants des roseaux, rousserolles effarvattes, bergeronnettes printanières, rousserolles verderolles, des martin-pêcheurs ainsi que quelques mammifères comme le castor d’Europe.

La partie entre Bazailles et la vallée du Nanhol est un endroit calcaire qui offre également beaucoup de diversité de flore et de faune.

Pour tous ces éléments, il faut une protection et une prise de conscience des élus et du public pour préserver cette rivière, trouver un consensus entre toutes les parties, être à l’écoute et faire une surveillance continue. C’est pourquoi, entre le conservatoire des sites lorrains, les élus et le public, une entente doit naître, une stratégie qui permette à tous de préserver cette rivière et toute la vallée qui l’entoure.

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 MUSÉE DE FILLIÈRES

Suzanne Savary ouvre la saison

 Le musée campagnard et son responsable accueillent en juin une artiste de renommée internationale Suzanne Savary .  Photo RLC’est une artiste hors du commun qui va ouvrir la saison des artistes au musée campagnard de Fillières : Suzanne Savary. Originaire de Thionville, saluée à diverses reprises comme une miniaturiste de grand talent, cette artiste lorraine, sociétaire des artistes indépendants, membre de l’académie de Felgueiras au Portugal, a fait ses études aux Beaux-arts de Nice avant de travailler à Paris avec André Cadiou dont elle fut l’élève.

De nombreux musées accueillent ses œuvres et ce depuis 1973 : Thionville, Nancy, Rouen, le musée des Beaux-arts de Lourdes, de Genève, de Moscou pour n’en citer que quelques-uns. Citoyenne d’honneur de la ville d’Odessa depuis 1998, Suzanne Savary y a créé de véritables « fondations » qui portent son nom.

Cette artiste de renommée internationale, qui affectionne tout particulièrement les compositions florales, les paysages et les natures mortes, sera présente au musée campagnard une grande partie du mois de juin, les dimanches et jours fériés (5, 12, 13, 19 juin).

Les visiteurs pourront découvrir 15 tableaux et aquarelles et en apprécier pleinement l’originalité picturale, la finesse et la délicatesse.

 


Date de création : 08/06/2011 : 09:01
Dernière modification : 29/06/2011 : 17:53
Catégorie : - Revue de Presse
Page lue 8580 fois

Recherche
Recherche
Préférences

Se reconnecter :
Votre nom (ou pseudo) :
Votre mot de passe
<O>


  Nombre de membres 8 membres
Connectés :
( personne )
Snif !!!
Webmaster - Infos