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Municipalité

 

Piscine : une majorité d’élus pour un bassin neuf de 25 m dans l’agglomération de Longwy

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I l y a urgence ça va nous péter à la figure. Il est temps de s’engager dans un projet, je ne sais pas si on pourra aller au bout de trois ans surtout avec la piscine de Longwy ».

Jean Huard, vice-président de la communauté de communes de l’agglomération de Longwy, ne mâche pas ses mots et tire la sonnette d’alarme face à des élus de l’agglomération très divisés sur la question de l’avenir des bassins de natation dans le territoire. Jeudi soir, le dernier sujet à l’ordre du jour de la réunion communautaire a en effet donné lieu à des échanges virulents entre les différents camps.

Christian Ariès, président de l’intercommunalité, avait posé le cadre. Il s’agissait de prendre « une orientation pour l’avenir », avec six scénarios proposés ( lire ci-dessous ) pour la réalisation d’un « pôle aquatique ». Sachant que « l’expérience et le chiffrage financier montrent que le regroupement sur un seul site serait préférable ». De plus, « l’orientation ne sera définitive qu’après confirmation du montage technique et financier du dossier ainsi que des opportunités foncières si le choix d’une construction neuve est retenu ». Mais très vite, les esprits se sont enflammés.

Six ou sept scénarios ?

Christian Basso, élu lexéen, a émis des doutes sur « des chiffrages biaisés ». Jean-Louis Adnet, conseiller herserangeois, a évoqué une septième hypothèse. « Si on réhabilitait uniquement Herserange, le coût serait très économique. Le bâtiment présente une capacité d’extension […] Faut-il construire des pôles aquatiques à la mode, alors qu’on dénombre 16 piscines autour de nous dont deux à moins de 3 km », interroge le conseiller, en référence aux équipements luxembourgeois.

Édouard Jacque, élu d’opposition longovicien, a également alerté sur l’état « obsolète, à la limite de la fermeture », de la piscine de Longwy. Mais a demandé un peu de temps pour « prendre en compte tous les coûts induits. Il serait intéressant d’associer les associations, la population au débat […] Et, en passant de trois à un établissement, nous aurions une marge de manœuvre quant aux frais de fonctionnement. Pourquoi ne pas réfléchir à une délégation de service public », ajoute l’élu.

Jean Huard a, lui, donné l’exemple d’une piscine du Nord de la France dont le fonctionnement pourrait convenir dans le territoire, chiffres à l’appui. Un bassin de 25 m avec huit couloirs. « Ça répondrait aux trois besoins identifiés : pour les scolaires, les clubs sportifs et le public », estime l’élu de Cutry, qui défend un positionnement du projet au Pulventeux à Longwy-Haut. Tout comme Robert Bourguignon, maire d’Ugny et vice-président de la CCAL. Une proposition qui obtient une majorité de voix favorables (19). L’option en faveur d’un bassin de 33 m (une demande du club de water-polo) en recueille 10. Enfin, la réhabilitation de la piscine de Herserange doublée d’un nouveau bassin de 25 m est crédité de 4 voix.

Pour conclure cette séance, Christian Ariès a précisé que « l’option sera travaillée (réflexion sur l’installation ou non d’un espace bien-être, d’un espace fitness, possibilité d’ajouter deux couloirs de 50 m, gestion en régie ou DSP (délégation de service public)… NDLR) tout en respectant une limite financière. On ne peut pas reproduire ce qui a été fait pour le golf ». D’autant plus qu’à plusieurs reprises l’hypothèse d’une augmentation des impôts pour financer l’équipement a été évoquée. Un sujet sensible. Même si comme l’a fait remarquer Serge De Carli, maire de Mont-Saint-Martin, la rénovation des piscines est un sujet « qui intéresse beaucoup les habitants ». Oui, mais à quel prix ?

Le Pays-Haut se pare de rose

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Les communes de Longlaville, Longwy, Haucourt-Moulaine, Herserange et Mont-Saint-Martin viennent de réunir leurs représentants en mairie d’Haucourt, en présence du maire de la commune, Jacques Marteau.

Objectif : préparer leur événement commun du mois d’octobre, à savoir le Parcours rose du Pays-Haut. Soutenue par la Ligue contre le cancer et la communauté de communes de l’agglomération de Longwy (CCAL), cette manifestation s’inscrit tout naturellement dans le cadre de l’opération Octobre rose. La première édition de ce Parcours rose se déroulera dimanche 11 octobre, dès 10 h, dans le parc Jacques-Duclos de Longlaville. Un circuit fermé, long de 5,5 km, sera ouvert à tous les participants, qui se verront accompagnés par des animations musicales.

Tout au long de la journée, les visiteurs pourront également s’informer sur le cancer du sein, dans ce même cadre forestier, mais aussi se restaurer et prendre part à des spectacles. Les organisateurs ont souhaité que cette initiative de prévention soit la plus populaire possible.

Bassin de Longwy : quel avenir pour les piscines ?

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Que vont devenir les piscines du bassin de Longwy ? Ce jeudi 24 septembre, le conseil communautaire de l’agglomération de Longwy (CCAL) sera appelé à se prononcer sur les orientations pour l’avenir des trois équipements aquatiques du territoire. À savoir : ceux de Herserange, Longlaville et Longwy. Six scenarii ont été élaborés et les élus auront à se prononcer sur ceux-ci d’ici cinq jours. Afin de les présenter, la CCAL organise une réunion ouverte aux personnes intéressées, mardi 22 septembre à partir de 20 h, dans ses locaux (2 rue de Lexy à Rehon). Pour une bonne organisation – le nombre de places étant limité – il est demandé au public de s’inscrire, soit en téléphonant au siège de la CCAL (03 82 26 03 00), soit par courriel (à l’adresse ccal.direction@cc-longwy.fr).


Que change la loi Notre pour l’interco de Longwy ?

La loi portant sur la nouvelle organisation territoriale de la République, publiée le 8 août dernier, pourrait changer la donne pour la communauté de communes de l’agglomération de Longwy. Explications avec son président Christian Ariès.

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Que change la loi Notre (Nouvelle organisation territoriale de la République) pour la communauté de communes de l’agglomération de Longwy ?

Christian ARIÈS, président de la CCAL : « Plusieurs dispositions peuvent concerner la CCAL, avec notamment des transferts de compétences. Cette loi nous offre surtout la possibilité de devenir une communauté d’agglomération (intermédiaire entre une communauté de communes et une communauté urbaine). »

Quels sont les critères pour opérer ce changement ?

« Auparavant, pour former une communauté d’agglomération de plus de 50 000 habitants, il fallait que la ville centre compte plus de 15 000 habitants. Or Longwy plafonne entre 14 600 et 14 800… Avec la loi Notre, ce n’est plus la ville centre mais son aire urbaine qui doit comptabiliser 15 000 habitants. Ce qui nous permettrait de passer en communauté d’agglomération. »

Comment se traduirait concrètement cette évolution ?

« Un certain nombre de compétences supplémentaires nous seraient automatiquement délivrées. À l’image de l’assainissement et surtout des transports, qui représentent un gros morceau. Ils sont actuellement gérés par le Sitral (Syndicat intercommunal des transports de l’agglomération de Longwy) qui regroupe 14 communes de la CCAL (16 avec Villerupt et Thil), pour un coût d’1,1 million d’euros par an.

Il faut que l’on puisse mesurer les conséquences de cette évolution, à la fois sur les dépenses supplémentaires et sur les recettes nouvelles, avec les dotations d’État, voir si cela peut se compenser. Nous allons lancer une étude pour que l’assemblée ait tous les éléments nécessaires. »

Êtes-vous favorable à une éventuelle communauté d’agglomération à Longwy ?

« J’y suis favorable sur le principe. La question que nous devons nous poser, c’est : est-ce que ça vaut le coup ? Car ce n’est pas une obligation. Pour les transports, la participation des communes adhérentes s’élèverait à 1,2 million d’euros par an. Si nous n’avons pas de dotations supplémentaires, nous serions obligés d’augmenter les impôts.

Cette réflexion s’inscrit dans un contexte compliqué pour les collectivités locales, avec une baisse des dotations d’État et une perte de plus de 300 000 euros par an en dotation globale de fonctionnement, que nous avons encaissées sans augmenter les impôts. Il faudra donc prendre le temps de mesurer et de chiffrer avant toute décision. »

La porte de la médiathèque intercommunale de Longwy ouverte à tous

Nouveaux horaires et tarifs plus attractifs, la médiathèque intercommunale souhaite toucher encore plus de monde, notamment les enfants. Les visites de la structure par les écoliers se sont d’ailleurs multipliées.

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N ous avons voulu trouver la formule pour augmenter la fréquentation de la médiathèque. Permettre à des personnes, des enfants qui en ignorent l’existence de connaître le lieu, qu’ils puissent y emprunter des livres, des CD, des DVD… » explique Laurent Righi, vice-président de la communauté de communes de l’agglomération de Longwy (CCAL).

Et pour cela, la structure intercommunale a, dans un premier temps, misé sur les écoles maternelles et élémentaires du territoire de la CCAL. Ainsi, les enfants de 260 classes sont invités à franchir au moins une fois la porte de la médiathèque en compagnie de leurs enseignants. L’objectif étant notamment de leur donner envie de « revenir avec leurs parents », explique Laurent Righi.

Pour faciliter les choses, l’intercommunalité offre le transport pour une visite par an et par classe. Entre mars et juin derniers, plus de 1 000 élèves de primaire ont donc découvert ce lieu de culture et de divertissement. Pour cela, les créneaux d’accueil des scolaires ont été élargis. Les mardis, mercredis et jeudis matins, de 9h à 10h ou de 10h à 11h, sont désormais consacrés à ces visites, ainsi que les mardis et jeudis de 14h à 15h. Et pour cette rentrée 2015, l’équipe de la médiathèque a décidé de proposer huit types d’animations lors de ces séances (puzzle de livres, chasse au trésor, kamishibaï , écoute d’une œuvre musicale…)

Cette nouvelle organisation donne lieu à de nouveaux horaires au public, depuis le 1er septembre. Ainsi, la médiathèque est ouverte les mardis, mercredis, jeudis de 13h à 18h, les vendredis de 13h à 19h et les samedis de 10h à 17h non-stop.

Gratuit pour les moins de 14 ans

De nouveaux horaires mais aussi de nouveaux tarifs sont désormais appliqués, depuis le 1er juillet. « Les tarifs d’inscription étaient un frein pour certaines personnes. Nous avons proposé la gratuité pour les enfants de moins de 14 ans », explique Lucile Dupuich-Kebayer, directrice de la médiathèque.

Pour les moins de 14 ans venant de communes extérieures à la CCAL le tarif est de 5 €. Des habitants de Villers-la-Chèvre ou Tellancourt par exemple sont amenés à fréquenter ce lieu de culture. « Les personnes qui travaillent au Luxembourg s’arrêtent le soir », donne comme exemple la responsable. La carte famille qui était proposée à 40 € est désormais à 20 € dans le cas d’une famille avec deux adultes et deux enfants de moins de 14 ans.

Un tarif réduit à 5 € a également été instauré pour les étudiants, les demandeurs d’emploi, les allocataires du RSA, du minimum vieillesse ou encore les personnes percevant l’allocation pour adultes handicapés.

Les critères sociaux sont pris en compte. « Nous avons un rôle de divertissement mais aussi social, avec un fonds spécifique emploi et formation », souligne la directrice. D’ailleurs, vingt ordinateurs sont mis à disposition, en accès libre, pour tout public. Il est également possible de lire un livre, une BD sur place sans même s’inscrire, seul l’emprunt est soumis à inscription.

La culture accessible à tous… il suffit juste de prendre le chemin de la médiathèque et de pousser la porte.

Le ministre de la Ville en visite à Longwy

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La bonne nouvelle était parvenue dans le Pays-Haut en juin dernier… Les quartiers Voltaire de Longwy et Concorde de Herserange étaient retenus parmi les onze secteurs lorrains prioritaires, dans le cadre du Nouveau programme de rénovation urbaine (NPANRU).

Hier, la mesure s’est concrétisée dans l’agglomération longovicienne lors de la venue de Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, et du secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert. Avec quinze autres partenaires, les deux membres du gouvernement ont paraphé les contrats de ville qui lieront désormais les municipalités longovicienne et herserangeoise à l’Etat, par le biais de la communauté de commune de l’agglomération de Longwy (CCAL). Lors de son passage dans les locaux de la CCAL, à Réhon, Patrick Kanner a d’ailleurs rappelé l’ampleur de l’aide que l’Etat accordera aux quartiers prioritaires d’ici 2020. À savoir, « 5 milliards d’euros, qui généreront 15 milliards de travaux ». En Lorraine, 33 millions d’euros seront attribués aux zones concernées pour leur seule rénovation urbaine, selon un mode de répartition restant à définir. « Aucune maquette financière n’a encore été établie. Pour l’instant, nous en sommes à la stratégie », a d’ailleurs confirmé le déput é-maire de Longwy, Jean-Marc Fournel.


Golf de Longwy : le 18 trous à tester

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A l’occasion de l’ouverture du 18 trous, le golf international de Longwy organise des séances d’initiations gratuites lors de portes ouvertes les 5, 6, 12 et 13 septembre.

« C’est l’aboutissement d’un grand chantier », résume Christian Ariès, le président de la communauté de communes de l’agglomération de Longwy (CCAL), propriétaire du site, qui a délégué la gestion à Gaïa concept.

En effet, la réflexion sur l’installation d’un golf sur les anciennes friches industrielles, situées à l’entrée de la cité des Emaux, date de 2002. Treize ans plus tard, 27 trous (9 + 18) sont ouverts. Coût de l’opération : 11,5 M€.

Ce nouveau parcours, sur 6 250m, les golfeurs l’attendaient avec impatience. Le golf compte actuellement 560 licenciés, dont 200 qui adhèrent à l’association sportive. Les responsables espèrent en attirer davantage, grâce à un golf « technique et un peu physique », apprécie Nils Reaume, directeur du golf. Et pour que la structure trouve le bon rythme, les responsables estiment à 1 000 le nombre de licenciés nécessaire. Sachant qu’actuellement, « 80 % des personnes qui viennent sont de l’agglomération ». Les joueurs extérieurs, notamment du Luxembourg et de Belgique, sont donc attendus.

L’abonnement pour le 18 trous est de 1 350 € l’année, pour un accès permanent. Sachant qu’un tarif d’accès au 9 trous reste d’actualité, soit 450 € par an.

Un restaurant Les Hauts Fourneaux ouvre également en cette rentrée, au sein du club house.


Date de création : 20/09/2015 : 11:45
Dernière modification : 26/09/2015 : 08:16
Catégorie : - Revue de Presse CCAL
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