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Municipalité

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La 10e fête au village

Tous les ingrédients réunis pour réussir la fête foraine.  Photo RL

Il est une tradition à Fillières qui n’est pas prête à s’arrêter, la venue des forains le jour de la Saint-Maurice. Petits et grands attendent avec plaisir l’installation des manèges et des différents stands. De quoi apporter une note festive en ce début d’automne. Flonflons des chevaux de bois, effluves sucrés des pommes d’amour et des chouchous qui viennent titiller les narines des gourmands et en prime, un soleil radieux, dernier sursaut de l’été, tous les ingrédients étaient réunis que pour la fête patronale soit un succès.

Pour la 10 e année consécutive, Francis Herbays a officiellement ouvert cette fête, n’oubliant pas de remercier les forains de leur présence. L’occasion pour les représentants de la municipalité de savourer quelques friandises offertes par l’ensemble des industriels forains qui avait délégué Dolorès Gorau pour les représenter.

Des bénévoles à l’honneur
Serge Brissette connaît le bénévolat depuis près de 50 ans. Il fait partie de l’AEBM depuis12 ans, il en est le vice-président régional depuis 10 ans.  Photo RL.

Samedi 29 octobre, l’Association d’encouragement aux bénévoles méritants, l’AEBM, mettra à l’honneur des bénévoles méritants. Cette cérémonie se déroulera sous la présidence de Francis Herbays, maire de Fillières et de M. Crovesi, président national de l’AEBM, avec le concours de la municipalité et des associations. Ce sera la troisième fois que cette cérémonie, qui a pour but de mettre des bénévoles à l’honneur, se déroulera à Fillières.

L’AEBM est un organisme privé apolitique qui a pour vocation d’encourager le bénévolat par l’attribution de médailles et de diplômes aux personnes œuvrant dans l’intérêt de tous.

L’AEBM cherche à honorer depuis dix-neuf ans toute personne (pompier, donneur de sang, entraîneur, artiste, secouriste) qui encadrée ou non, dans des domaines aussi variés que le sport, l’éducation, l’art, participe gratuitement, sans y être obligée, à des actions de civisme ou de dévouement.

Elle souhaite également honorer leur conjoint par la remise d’un diplôme d’honneur. Cette année encore, cette association a décoré au cours de l’année 2010 plusieurs dizaines de personnes. Car finalement, que ce soit dans la vie associative, à l’occasion de manifestations organisées par et dans la commune, rien ne serait possible sans l’aide de personnes qui ne comptent ni leur temps, ni leur énergie.

Monter un dossier

Toutes ces personnes n’attendent pas d’être sollicitées pour apporter leur aide car ce qui fait la richesse d’une commune, ce qui contribue à son rayonnement, c’est bien le dynamisme de son tissu associatif.

Sans les bénévoles, toute manifestation, tout projet se révèle impossible et retombe inévitablement comme un soufflet. Aussi, à toutes les mairies, à toutes les associations qui oublient, non pas volontairement mais parce que le bénévole est souvent une personne qui reste dans l’ombre, l’ABEM leur demande de contacter pour la Région lorraine : Serge Brissette au 03 82 25 00 72 ou au 06 18 46 29 99 pour obtenir un dossier d’inscription afin de mettre en valeur le ou les bénévoles de leur choix, ce dossier doit être renvoyé au plus tard pour le 25 septembre.

 

Corinne et Florian

Photo RL.

 

Samedi, à 17 h 30, a été célébrée l’union de Florian Faresin, machiniste chargeur et de Corinne Mabille, responsable périscolaire, demeurant tous deux à Ville- au-Montois.

Nos félicitations.

 

Sébastien Paquin : la nature, son univers

Sébastien Paquin expose au musée campagnard depuis dix ans. Il sera présent jusqu’au 26 septembre.  Photo RL

 

Il revient enfin après un break d’une année. Sébastien Paquin, l’artiste, fait son retour au musée campagnard pour quelques semaines. Une quinzaine de toiles accrochées aux cimaises du musée sont autant de fenêtres ouvertes sur la campagne, une bouffée de nature que cet artiste poète offre une fois de plus au regard du visiteur.

Ses toiles fidèles à ce qu’il est au plus profond de lui sont un hymne à la nature qu’il aime par-dessus tout. Maniant le couteau à peindre avec passion, il sait user de la plus grande des délicatesses en imaginant les herbes folles : « Mon but, dit-il, c’est d’amener aux gens un peu de baume au cœur, une bouffée de vert tendre dans ce monde si souvent gris. »

S’il a voulu prendre son temps, c’est pour mieux revenir et offrir le meilleur de lui-même. « La nature dans tous ses états, à toutes saisons reste ma source d’inspiration. Avec le couteau, je joue sur la technique, j’arrive ainsi à obtenir un effet de profondeur. Et puis j’aime la nature brute, sans fioritures. »

À voir chaque week-end et sur demande auprès de Serge Brissette, président du musée, à l’origine de la ronde des peintres.

 

Quelques jours après le début de saison de La Bonne Fillières événements (LBFE) salle de la Chapelle, les responsables s’attendent à une fin d’année compliquée.

C’était en 2010, lors de la première édition des Estivades. Reverra-t-on le festival en 2012 ? Pas sûr…  Photo DR

Autour de Jacky Gerodel et Boris Maxant, ils ont tenté de sensibiliser les habitants et les élus du bassin de Longwy, et évoqué avec le maire Francis Herbays l’entrée de la commune dans une communauté de communes, ce qui permettrait un « financement de structure. On a reçu la réponse et le soutien de Jean-Marc Fournel qui a appuyé les dossiers des Estivades et Irelis ( Initiative régionale pour le lien social N.D.L.R.). On a eu 13 500 €, pour un subventionnement total de 18 000 €. Mais tout ça n’est pas suffisant. On ne peut pas aller d’Irelis en Irelis. On a déjà été obligés de se séparer d’un poste, remplacé par un temps bénévole. »

Lieu culturel rural

Sauf « agréable surprise » d’ici quelques semaines, La Bonne Fillières événements va donc changer de visage en 2012. Les grandes décisions seront prises dans deux mois au plus tard. Le rythme de 87 dates par an devrait par exemple diminuer. « On ne va plus pouvoir suivre, sans que les spectateurs répondent présents, car ils sont souvent moins de quarante par représentation. La fréquentation est trop en dents de scie. »

Malgré tout, les responsables ne veulent pas lâcher un lieu qu’ils aiment. « On veut que la salle soit reconnue comme un lieu culturel rural, un lieu d’expression. »

Si rien ne bouge, la salle de la Chapelle devrait tout de même garder l’une de ses principales missions. « On veut continuer à aider et accompagner les carrières des groupes, et leur proposer des enregistrements d’albums, comme ça a été le cas pour le Black narcissus quintet récemment. On sait ce qu’on peut apporter à des structures comme La Grange qui va s’ouvrir à Longlaville. On peut être complémentaires : les musiciens pourront venir s’essayer chez nous avant de jouer là-bas. On ne sera pas en concurrence car on n’aura pas le même public, ni le même accueil. »

Renseignements et informations : La Bonne Fillières événements, 2, place de l’Église à Fillières.

Tél. 06 63 01 00 44.

La « finesse sans concession » de Desproges

Dans M. Tribulire proche de Desproges, joué vendredi soir à Fillières, Jacky Gerodel, de la compagnie Top zone (Haucourt-Moulaine), reprend quelques-uns des réquisitoires du grand humoriste. En un mot : « Délicieux. »

Jacky Gerodel joue Desproges à Fillières vendredi soir à 20 h 30. Et le public se replonge avec plaisir   dans les réquisitoires du grand humoriste.  Photo Samuel MOREAU

M . Tribulire proche de Desproges, c’est Jacky Gerodel sur scène, de la compagnie Top zone (Haucourt-Moulaine), qui rend hommage au grand humoriste français. Vendredi 9 septembre à 20 h 30, il sera salle de la Chapelle à La Bonne Fillières événements. Rencontre.

Pourquoi un spectacle sur Pierre Desproges ?

Jacky GERODEL : « J’avais décidé il y a deux ans de relire et de revoir toute son œuvre, et j’ai décidé d’en faire quelque chose sur scène. J’aime son humour, sa pertinence, la façon décalée et absurde avec laquelle il aborde les sujets, ainsi que sa violence dans la contestation. Et puis ce qu’il dit n’a pas pris une ride. Il y a juste quelques noms ou personnages à changer, mais pour le reste, on assiste à une sorte de répétition dans les générations. La seule différence, c’est que si un comique se permettait ça aujourd’hui, il serait mis au ban de la société, taxé par exemple d’antisémitisme notamment. Il y a eu un recul, après la vague du politiquement correct qui nous est venue des États-Unis il y a quinze ans. On est artistiquement dans l’autocensure ou la censure, on l’a vu avec Guillon ou Porte. On n’est plus libre de dire ce que l’on veut. La faute aux lobbies, qu’ils soient politiques, religieux. Et parce qu’on noie les gens dans l’information. »

Quel est le contenu de la pièce ?

« J’ai fait le choix des réquisitoires de Desproges. Il y a abordé tous les thèmes. Le vrai regard critique se trouvait à l’époque dans le Tribunal des flagrants délires. C’était sans concession, mais avec finesse, sans agressivité. »

Un exemple ?

« Sur l’un de ses sketches politiques, il décrit la prise de photo de Jacques Chirac, l’environnement : 153 conseillers, les maquilleurs, etc. Et tout ça pour au final afficher une photo qui fait peur aux enfants sur les murs de Paris. Il conclut en disant qu’on ne s’étonnera pas, après tout le mal que les hommes politiques mettent pour se faire réélire, que les électeurs préfèrent partir à la pêche le jour des élections ou voter Le Pen. Bizarrement, en 2012, on se dirige vers le même cas de figure. Mais j’ai rajouté que les électeurs préféreront s’engager dans la Marine (Le Pen NDLR). »

Trente ans après, n’est-ce pas triste de voir que rien n’a changé ?

« Triste à pleurer, oui. Mais on peut en rire. »

Que proposez-vous donc pour y remédier ?

« Sans prétention, je joue huit à neuf réquisitoires sur les onze que j’ai repris, en 1 h 15. »

N’est-ce pas difficile d’apprendre ces textes, bourrés de subtilités ?

« C’est difficile, car ça représente 50 pages A4 à apprendre, mais délicieux. Il n’y a pas de mise en scène, car elle s’adapte à la salle, et au public. Le décor est minimaliste. Et ça plaît, cela fait rire et donne envie de se replonger dans Desproges. »

Quelles sont les dates prévues ?

« Outre le 9 septembre, je reviens à Fillières le 7 octobre, puis je le joue les 29 et 30 octobre au théâtre Mon-Désert à Nancy, le 29 étant déjà complet. Ensuite, ce sera Lille, Tourcoing, Fontainebleau, etc. »

M. Tribulire,

vendredi à 20 h 30

à Fillières.

Tarif plein 9 €

et solidaire à 4,50 €. Renseignements

au 06 63 01 00 44.

 

Trois niveaux pour Marylène à Fillières

Photo RL

Pas moins de 3 niveaux pour un premier poste (CE2, CM1 et CM2) : une tâche difficile, mais qui n’effraie pas Marylène Bintz, jeune professeur originaire de Moselle, qui a prévu « une visite à la déchetterie de Villers-la-Montagne. » Ses élèves participeront aussi à des rencontres de l’USEP et assisteront aux concerts des JMF de Villerupt.

« Les CP et CE1 iront à la découverte des espèces du sentier pédagogique et participeront au fleurissement du village », précise la directrice Virginie Desprez.

Ambiance détendue à Ville-au-Montois

Photo RL

À Ville-au-Montois, 27 enfants du regroupement pédagogique avec Fillières ont repris le chemin de la maternelle qui accueille les enfants de 3 à 6 ans. L’effectif est stable. Le jour de la rentrée, l’ambiance était très détendue, les enfants prenant tout naturellement possession de la salle de jeux. Dans le couloir, les parents étaient soulagés de voir que tout se passait bien.

 

La mairie embellie

 

La mairie de Fillières encore plus accueillante suite à l’aménagement paysager.  Photo RL

La mairie de Fillières encore plus accueillante suite à l’aménagement paysager. Photo RL

 

La mairie de Fillères a fait l’objet d’un bel aménagement paysager. Les carrelages du parvis ont été rénovés. L’ensemble du jardin a été redessiné, avec des bordures de fleurs et des arbustes neufs. Les responsables ont même fait installer un banc, véritable invitation à fréquenter le lieu !

«  En fait, ce bâtiment n’abrite pas que la mairie, explique Francis Herbays, le maire de Fillières. C’est une maison communale, habitée par des associations, le centre de loisirs et bien d’autres pôles citoyens. »

L’aménagement paysager (8 000 € de travaux) profite donc à tout le village
.

Un city stade pour les champions

 

Francis Herbays et son équipe sur le macadam du futur city stade. Un certain standing a été souhaité : herbe synthétique, délimitation en bois, polyvalence foot/basket/jeux de filet.  Photo RL

 

 

Derrière la mairie de Fillières, les travaux vont bon train. Pour l’instant, il n’y a que du macadam. Mais à la fin du mois, ça sera un city stade flambant neuf. « Un projet que nous travaillons depuis plus d’un an », explique Malek Boussalem, adjoint au maire de Fillières. Du coup, un véritable espace de loisir émerge, puisqu’il existe déjà une aire de jeux pour enfants non loin. « En fait, nous avions le choix entre deux aménagements, détaille Francis Herbays, le maire de la commune. Soit un skatepark, avec des modules pour les rollers, soit un city stade. En concertation avec les habitants, le stade a été privilégié. »

Les habitants choisissent le foot

Le choix semble judicieux car le stade n’utilisera pas toute la longueur du macadam, laissant place à d’éventuels aménagements futurs, comme pour le roller. « Nous avons organisé au moins cinq réunions publiques pour prendre la décision, insiste le maire. Un groupe a d’ailleurs représenté la voix des jeunes du village. » Gwenaelle, 19 ans, se souvient de la première réunion : « La consultation publique est une bonne démarche. On s’est senti investi dans le projet. Mon frère joue au foot, les jeunes vont prendre soin de l’installation. Et puis, ça va faire un vrai lieu de partage pour le village ! »

60 000 € de travaux

Concrètement, le city stade va mesurer 15 m sur 64 m. La mairie a choisi un modèle haut de gamme, avec gazon synthétique, encadrement en bois, but en longueur et sur les côtés (dits « brésiliens ») et panneaux de basket sur l’extérieur. De belles parties de « calcetto » (foot à cinq, comme dans les quartiers de Rome) se dessinent déjà ! De quoi rentabiliser les 60 000 € investis. Le conseil général assure la moitié du budget, la Région prend 18 000 € à son compte et la commune débourse 12 000 €.

Stade multisport

« L’installation bénéficiera aussi à l’école et aux centres aérés », note Francis Herbays. Précision importante vu le succès grandissant de l’accueil loisir (quarante enfants par semaine pour la session d’été 2011).

En revanche, l’accueil périscolaire regroupé avec Ville-au-Montois est à l’extérieur.

« Nous attendons les footballeurs du village mais de façon plus large, toutes les familles qui participent à des jeux de balles. » Un filet de volley pourra même être tendu, avec une installation spécifique. La possibilité de jouer aux pieds… et à la main, comme Maradona !

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Oui aux éoliennes

 

Photo Archives RL

 

 

Le projet d’implantation d’un parc éolien à Fillières date de 2004. Suite à quelques contretemps, le dossier avait pris un peu de retard. Le maire de Fillières, Francis Herbays, a appris une bonne nouvelle il y a quelques jours : la société Nordex, porteur du projet, a obtenu les autorisations nécessaires pour se lancer dans la réalisation du parc. Quatre éoliennes verront le jour.

Le chantier devrait démarrer rapidement, mais avant cela, le maire tiendra une réunion d’information en direction des habitants.

 

 


Date de création : 03/09/2011 : 08:51
Dernière modification : 02/10/2011 : 17:01
Catégorie : Municipalité - Revue de Presse
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